Ouaip ça m’en a tout l’air mais c’est toi qui as mis le doigt dessus, je ne m’en étais pas rendu compte. A présent je le guette à toutes mes sorties, je te tiens au courant ;o)
Un jour, Tête de bois se demande
à quoi Tête de plume pense.
Les deux à l’âge des têtes blanches,
chacune dans son coin d’une ville,
elles rêvassent entre feuilles et tuiles.
Par le miracle des francs frits
et des assemblages opportuns,
les voilà collées l’une à l’autre
qui se montrent un peu de leurs vies.
Leurs vies de bois et de plume.
Quelque part entre mer et lune.
…
Joli :)
Méfie-toi, dois y avoir un indien dans ta ville!
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Ouaip ça m’en a tout l’air mais c’est toi qui as mis le doigt dessus, je ne m’en étais pas rendu compte. A présent je le guette à toutes mes sorties, je te tiens au courant ;o)
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Sors masquée et jamais sans ton carquois ;)
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doiT (misère!)
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Hé oui l’orthographe n’est plus ce qu’elle était, on vieillit ma chère ;o)
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Soyez gentil et mettez des commentaires sympas, voilà ce qu’on récolte, on se fait traiter de vieille! ;) Pfffft!
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Je signale le « on » il s’adresse tout autant à moi mais je ferai attention la prochaine fois, promis !
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Je plaisantais, hein!
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Un jour, Tête de bois se demande
à quoi Tête de plume pense.
Les deux à l’âge des têtes blanches,
chacune dans son coin d’une ville,
elles rêvassent entre feuilles et tuiles.
Par le miracle des francs frits
et des assemblages opportuns,
les voilà collées l’une à l’autre
qui se montrent un peu de leurs vies.
Leurs vies de bois et de plume.
Quelque part entre mer et lune.
…
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Tu as un sacré talent pour mettre tes mots sur des photos ;o)
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